Macron en Egypte, la controverse des 80 km/h, … les info à retenir

Macron défend les forces de l’ordre

En déplacement en Egypte, Emmanuel Macron a choisi de défendre les forces de l’ordre. Il a « déploré » le décès de 11 personnes « depuis le début de la crise sociale des Gilets jaunes en France ». Il a cependant souligné qu’aucune n’avait « été victime des forces de l’ordre ». C’est après la question d’un journaliste égyptien sur le respect des droits humains à Paris, qu’il a tenu à rendre « hommage aux forces de l’ordre ».

Le 80 km/h, une mesure de plus en plus controversée  

C’est une mesure sortie du chapeau d’Edouard Philippe en début d’année 2018. L’abaissement de la limitation de vitesse de 90 à 80 km/h sur les routes secondaires est entré en vigueur au début du mois de juillet. Malgré des mois de controverses, le Premier ministre a tenu bon. Du moins c’est ce que l’on pensait jusqu’ici. Avec la crise des Gilets jaunes, l’exécutif laisse maintenant entendre qu’il pourrait finalement faire marche arrière et y renoncer partiellement.

>> A LIRE AUSSI : 80km/h : « Il n’y a jamais eu aussi peu de morts »

Reprise d’antenne pour France Bleu Isère

L’antenne grenobloise de France Bleu a été détruite par un incendie d’origine criminelle dans la nuit de dimanche à lundi. Aucune victime n’est à déplorer mais les dégâts matériels sont tout de même importants. Malgré le choc, la radio a repris l’antenne à 17h30 ce soir dans les locaux de France 3, qui a tenu à héberger la rédaction sinistrée.

L’avocat de Jérôme Rodrigues possède un Glock 26

Philippe de Veulle est l’avocat de plusieurs gilets jaunes, dont Jérôme Rodrigues sérieusement blessé à l’œil lors de l’acte XI du mouvement samedi 26 janvier. Pourtant, le fait qu’il possède un pistolet Glock 26 fait polémique.

Il explique porter cette arme pour se protéger des nombreuses menaces de mort qu’il reçoit depuis plusieurs années, notamment après avoir défendu des familles de victimes du Bataclan demandant l’interdiction du concert du rappeur Médine.  Son permis, délivré en décembre 2016, est en cours de renouvellement. Mais Philippe de Veulle tient à signaler qu’il n’a jamais pris son arme lors des manifestations. « Je l’avais en permanence avec moi mais je ne l’ai jamais pris pendant les manifs. J’avais un gilet jaune, des lunettes de protection et c’est tout. C’est comme une arme de fonction pour un policier. »

Auteur / autrice

Vos dernières actualités