Les étudiants accueillent Agnès Buzyn à l’Université Toulouse Capitole

Conférence d'Agnès Buzyn © Julie Nicosia
Les étudiants toulousains ont accueilli ce mercredi 17 janvier l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn. Un moment de partage et d’échanges organisé par le vice-président étudiant de l’Université Toulouse Capitole, Raphaël Perret et l’association Les Engagés.

« Être ministre, concrètement, ça veut dire quoi ? » C’est la question que les étudiants ont posée à Agnès Buzyn. L’ancienne ministre de la santé et aussi praticienne hospitalière est venue répondre aux étudiants toulousains. Dans son livre « Journal janvier – juin 2020 » elle évoque le Covid-19 et la façon dont elle n’a pas été écouter au gouvernement quand elle tentait d’alerter sur la pandémie. Les thématiques abordées lors de la conférence étaient diverses et variées allant de la fonction d’un ministre à des anecdotes politiques. Agnès Buzyn tente à travers la conférence de déconstruire l’image de la population avait d’elle.

Rendre accessible les rencontres

Les associations étudiantes sont multiples, mais beaucoup d’entre elles aspirent à créer des rencontres, qu’elles soient politiques ou non. Dans le cadre de ce moment d’échange avec Agnès Buzyn, il tenait à cœur à l’association Les Engagés d’y participer. Maxime Président de l’antenne toulousaine de l’association explique « Le but des associations, c’est de rapprocher les jeunes de l’engagement citoyen, mais également les politiques des jeunes ». Confronter les visions entre jeunes et personnalités politiques afin de faire remonter les idées jeunesses est aussi un objectif des associations étudiantes.

« Ce qui est intéressant ce sont les questions post conférence de la part des étudiants tel qu’est-ce que c’est d’être ministre ? Comment se passent les journées ? Et en fait ça casse peut-être ce mythe des politiques. La fonction de politique devient accessible à tout le monde » conclue le Président de l’association.

Si la scène politique est régulièrement présente à Toulouse, il tient à cœur aux jeunes de la Ville rose de défendre leurs idées.

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