Une semaine après la crue, les dégâts sont toujours visibles sur le campement. Déjà insalubre, le sol des habitations de fortune est jonché de boue. Plusieurs familles ont dû quitter le camp après la destruction de leurs tentes par la montée des eaux. De nombreuses familles et des nourrissons font face à l’humidité, aux températures négatives ou encore le manque de nourriture. Une situation critique qui dure déjà depuis quatre mois.
Pour le moment, aucune proposition de relogement n’a été faite aux 15 demandeurs d’asile.
Mustafa, 14 ans, pêche pour survivre et nourrir sa famille. ©Le24heures Le campement de fortune de quinze migrants albanais. ©Le24heures La boue recouvre une grande partie du camp. ©Le24heures Cristina, enceinte de 8 mois, est la seule hébergée dans un hôtel. ©Le24heures Boue, température négative, humidité : c’est le quotidien pour ces familles, qui attendent désespérément une aide pour être loger convenablement. ©Le24heures Certaines habitations de fortunes n’ont pas résisté à la montée de la Garonne. ©Le24heures Les quelques jouets des plus jeunes sont abîmés par la boue. ©Le24heures De nombreux objets du quotidien sont rendus inutilisables. ©Le24heures Certains habitants du quartier Empalot se mobilisent pour apporter de la nourriture. ©Le24heures Déjà insalubres, des quantités importantes de boues jonchent les sols des habitations. ©Le24heures Déjà insalubres, des quantités importantes de boues jonchent les sols des habitations. ©Le24heures Les poussettes sont embourbées. ©Le24heures De nombreux objets du quotidien sont rendus inutilisables. ©Le24heures
Laura Lude, Romain Agard, Eliot Poudensan