L’étudiante sénégalaise Diary Sow, disparue en janvier, annonce la sortie de son nouveau roman

La disparition de Diary Sow avait suscité de vives inquiétudes. Crédit : Facebook, Diary Sow
Près d'un mois après sa disparition, la jeune Sénégalaise de 20 ans est sortie de son silence. Avec un post Instagram, Diary Sow a fait la promotion de son nouveau livre intitulé "Et les masques tombent". Pour beaucoup d'internautes, la disparition de l'auteure n'était donc qu'un coup de com.

Près d’un mois après sa disparition, la jeune Sénégalaise de 20 ans est sortie de son silence. Avec un post Instagram, Diary Sow a fait la promotion de son nouveau livre intitulé « Et les masques tombent ». Pour beaucoup d’internautes, la disparition de l’auteure n’était donc qu’un coup de com.

La Sénégalaise qui avait disparu en janvier dernier a publié, ce lundi 1er février, une vidéo promotionnelle de son nouveau roman. Deux jours plus tard, un nouveau post concernant son nouveau livre est publié sur Instagram.

Dans l’intrigue de son livre, l’héroïne Allyn Kane est “une adolescente au passé douloureux” qui s’est “enfuie du domicile familial” au Sénégal “dans l’espoir de vivre la vie dont elle a toujours rêvé”. Pour les internautes, l’histoire du livre ressemble étrangement à celle de la jeune femme. C’est pourquoi ils voient en la disparition de l’auteure une mise en scène, qui serait une stratégie de communication.

Des internautes perplexes

Quand Diary Sow ne s’est pas présentée à la reprise des cours du prestigieux lycée Louis-Le-Grand le 4 janvier dernier à Paris, tout le Sénégal était en émoi. Ses followers, qui auraient aimé des explications après le retrait mystérieux de la jeune femme, sont donc perplexes face à l’annonce.

Dans les commentaires, on retrouve des commentaires tels que : « Tu pouvais faire la promotion de ton livre sans pour autant mettre tous les Sénégalais dans l’angoisse » ou encore « nous on est là à s’inquiéter et tu sors tes charabia là ».

Diary Sow a répondu en story le jeudi 4 février, déclarant qu’elle avait « un besoin irrépressible de couper les ponts pour un moment ».

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