Albi se rêve autosuffisante alimentaire. Six mois après leur super coup de com’, nous nous sommes demandées si ce mode de consommation était transportable dans une métropole comme Toulouse. Durant toute une semaine, nous sommes allées à la rencontre de locavores, qu’ils soient entrepreneurs, maraichers, agronomes, ou simples citoyens soucieux de bien se nourrir. Même si l’autosuffisance parait être utopique, un véritable réseau pour réapprendre à manger local sans se ruiner, se met en place dans la Ville rose.
[ENQUÊTE] Le locavorisme à la conquête de la Ville rose
- Sarah Thuault Ney